En Août 2008, Nkunda lance des attaques non provoquées contre l'armée nationale qui ont contraint un quart de million à fuir leurs foyers dispersés sur un vaste domaine sans hospital ni l'accès au logement, à l'eau, à la nourriture et aux médicaments.(MONUC)
En Février 2008, Un rapport des enquêteurs des Nations unies des droits humains allégent que les combattants fidèles à Nkunda ont tué au moins 30 civils Hutus Janvier 16 et 17 autour de Kalonge, à environ 100 km (64 milles) à l'ouest de Goma, capitale de l'Est province du Nord-Kivu (MONUC)
En Septembre 2007, L'Amnestie International appelle à une collaboration entre la RD Congo et le Rwanda en vue de traduire Nkunda en justice dès que possible parce que les terribles violations des droits humains auraient pu être évitées si le mandat d'arrêt international contre lui (Laurent Nkunda) publié avait été suivie.(Amnesty International}
En Juillet 2007, les forces loyales au chef de guerre Nkunda sont accusées d'utiliser de viol comme arme de guerre dans dans plusieurs villages au Nord-Kivu (Refugees International)
En Juin et Juillet 2007, les enquêteurs des Nations unies indiquent que les combattants de Nkunda avaient recrutés des enfants au Rwanda (Amnesty International)
En Septembre 2006, 21 corps sont découverts dans des fosses communes dans les postes laissés vacants par les forces de Nkunda dans le territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu. Certains de ces organismes avaient été liés par les mains et les pieds (Amnesty International)
En Mars 2006, Amnesty International appelle Nkunda à cesser immédiatement le recrutement et l'emploi des enfants, et à libérer tous les enfants au service de ses forces (Amnesty International)
En Janvier 2006, Human Rights Watch a appelé pour le reste de Nkunda et a averti que, tant que Nkunda est en liberté, la population civile demeure en grand danger. (Human Rights Watch)
En Sptembre 2005, Nkunda est l'objet d'un mandat d'arrêt international délivré par le gouvernement de la RDC pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité et l'insurrection à Kisangani en 2002 et à Bukavu en 2004 (Human Rights Watch)
En Juin 2004, Nkunda recrute des enfants soldats dans le Nord et le Sud-Kivu, notamment à Minova, Kalehe, et de Masisi, pour servir en tant que soldats, en menaçant de tirer sur ceux qui ont essayé de dire non (USA: Département d'État , Rapports sur l'Exploitation de l'enfant)
En Juin 2004, les soldats de Nkunda violent une mère devant son mari et ses enfants tandis qu'un autre soldat a violé une fillette de trois ans (Human Rights Watch)
En Mai 2004, Nkunda et les troupes fidèles à lui menent des crimes de guerre, tuant et violant des civils et pillent leurs biens dans plusieurs villages au Sud Kivu (Human Rights Watch)
En Juillet 2002, Lors d'une réunion d'information au Conseil de Sécurité en Juillet 16, 2002, le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme Mary Robinson appelle les autorités congolaises d'arrêter Nkunda, et a met en garde contre de nouvelles effusions de sang si Nkunda n'est pas déféré à la justice (Human Rights Watch)
En Mai 2002, Nkunda est accusé de crimes de guerre commis à Kisangani où plus de 160 personnes ont été sommairement exécutées. (Human Rights Watch)